- Jaguar honore avec le Projet ZP les premières victoires en course de la Type‑E : une collection de sept couples exclusifs de Type‑E restaurées, inspirées des voitures victorieuses en 1961 aux mains de Graham Hill et Roy Salvadori
- Chaque paire comporte un cabriolet Oulton Blue, inspiré de la « ECD 400 » de Graham Hill, avec un habitacle en cuir rouge.
- Complétant chaque paire, un coupé inspiré de la « BUY 1 » de Roy Salvadori, de couleur Crystal Grey avec un habitacle bleu foncé
- Chaque exemplaire du Project ZP présente pour traits spécifiques un badge commémoratif, le cuir souple Bridge of Weir et une console personnalisée en aluminium, gravée par l’artiste Jonny « King Nerd » Dowell
- Les voitures reçoivent le six‑cylindres en ligne Jaguar XK de 3,8 litres, associé à une boîte manuelle à cinq rapports rapprochés, spécialement développée par Jaguar Classic
- Chaque client recevra un casque Everoak assorti, inspiré des casques de conduite originaux fabriqués à la main par Bill Vero, qui les fabrique depuis les années 1950, dans des sacs spécialement conçus en interne par les selliers de Jaguar Classic.
- Les clients intéressés doivent être dirigés vers www.jaguar.com/classic, +44 (0) 2476 566 600, sales@classic‑jaguarlandrover.com. Pour être mis régulièrement au courant de l’activité de Jaguar Classic, y compris la construction des nouvelles Type‑C, sui
- Plus tard dans l’année, SV Bespoke, le département personnalisation de Jaguar, présentera une série limitée de F‑Type, inspirée des Type‑E de la ZP Collection
Jaguar Classic célèbre la légendaire Type‑E et son pedigree de vainqueur par la création exclusive de sept couples de Type‑E ZP Collection. Ces nouvelles voitures de collection luxueuses constituent un hommage aux premières Type‑E de compétition, sous le nom de « Projet ZP ». Quelques mois seulement après le lancement de la Type‑E en 1961, ces Type‑E de course légèrement modifiées par Jaguar célébraient leurs premières victoires.
Chaque couple de voitures de la collection Type‑E ZP comprend un cabriolet et un coupé, dans des livrées inspirées de ces gagnantes, entièrement restaurés par les experts de Jaguar Classic Works à Coventry.
Les deux autos d’origine sont restées célèbres sous leurs numéros d’immatriculation, « ECD 400 » et « BUY 1 », pilotées respectivement par Graham Hill et Roy Salvadori dans les années 1960. Les voitures de la collection ZP sont riches de détails bien pensés, commémorant le palmarès en course de la Type‑E ainsi que d’améliorations et de perfectionnements techniques visant à les rendre facile d’utiisation par les collectionneurs.
La collection ZP E‑Type rend hommage aux premiers triomphes en course de la Type‑E, partie intégrante de la riche histoire sportive de Jaguar. Chaque couple raconte un épisode fascinant, et souvent méconnu, de l’histoire de la Type‑E. La collection ZP rend non seulement hommage aux voitures, mais aussi aux pilotes qui les ont menées à la victoire. 2 000 heures d’un travail sérieux, consacré à chacune des voitures par les artisans de Jaguar Classic, permettent au connaisseur averti de participer à cet hommage unique, rendu à deux des plus grandes voitures de l’histoire de la Type‑E.
Paul Barritt
Director of Jaguar Classic
Plus tard dans l’année, SV Bespoke, le département de personnalisation de Jaguar, dévoilera une série limitée de F‑Type ZP assorties à la collection E‑Type ZP qui les inspire. Quatorze de ces dernières Jaguar dotées du V8 5,0 litres à compresseur seront réservées aux collectionneurs de la Type‑E ZP, constituant un inégalable quatuor commémoratif. À partir de 2025, Jaguar deviendra fièrement une marque de luxe moderne purement électrique, ouvrant ainsi un nouveau chapitre passionnant pour la marque fondée par Sir William Lyons en 1935.
Fondements historiques
Les versions exclusives de Jaguar Classic célèbrent un épisode important de l’histoire de la Type‑E et prennent leur nom des sept premiers exemplaires transformés pour la compétition. Ceux‑ci ont fait leurs débuts en course en avril 1961, un mois seulement après les débuts triomphants de la Type‑E de série au Salon de Genève.
Claude Baily, Chief Designer chez Jaguar à l’époque, n’a spécifié les caractéristiques de ces sept voitures du « Projet ZP » que le lendemain du lancement en grande pompe de la Type‑E à Genève. Chaque auto recevait des améliorations portant sur des éléments aussi importants que le bloc‑cylindres, la culasse et la boîte de vitesses, à rapports rapprochés.
À peine un mois plus tard, le 15 avril 1961, « ECD400 » et « BUY1 » terminaient première et troisième du Oulton Park Trophy pour Grand Tourisme. C’était le début de la carrière en course de la Type‑E et la poursuite du palmarès de Jaguar, conquis avec des modèles aussi légendaires que les Type‑C et Type‑D.
La Type‑E victorieuse à Oulton Park, de couleur Indigo Blue et immatriculée « ECD 400 », était pilotée par Graham Hill, tandis que « BUY 1 », de couleur Pearl Grey, se classait troisième aux mains de Roy Salvadori. Le même Salvadori a ensuite gagné à Crystal Palace le 21 mai 1961. Au total, entre 1961 et 1964, les Type‑E ont moissonné de remarquables succès et obtenu 24 podiums.
Les voitures
Le premier élément du couple honore le cabriolet Type‑E Indigo Blue de Graham Hill. De couleur Oulton Blue – inspiré par le coloris original d’ECD 400 – il reçoit un capot noir et une série de détails extérieurs en hommage à la voiture victorieuse de Hill.
Les ronds sur le capot et la portière sont blancs, un trait de « rouge à lèvres » blanc marquant l’intérieur de la prise d’air. La barre de calandre et les butoirs de pare‑chocs avant sont supprimés, comme à l’époque. En revanche, contrairement à l’original qui n’était développé que pour la course sans souci de finition, les ingénieurs de Jaguar Classic ont recherché une fluidité parfaite et lissé méticuleusement le museau, une finition à la main qui représente plus de 40 heures de travail supplémentaires.
Les pare‑chocs avant et arrière sont chromés et les roues arborent des couvre‑moyeux portant le logo Jaguar Heritage. Pour compléter l’apparence conforme à 1961, un volant en hêtre s’ajoute aux autres caractéristiques des premières Type‑E, comme les louvres du capot (les ouïes de sortie d’air) soudées et les loquets de capot fermant à clé. Ces loquets arborent un logo ZP spécifique et sont reliés par une sangle de retenue en cuir.
Parmi les autres détails ZP, le logo ZP sur le bouchon de réservoir, la housse de la voiture et le couvre‑capote, les logos ZP et Jaguar à l’arrière, signalent la nature unique de l’auto. On remarque également un graphe artistique sur l’aile, représentant l’Union Jack dans un bouclier argent, la silhouette de la Type‑E et la mention Project ZP.
L’habitacle se présente dans une configuration spécifique et authentique, avec le cuir Bridge of Weir rouge et les garnitures Hardura conformes à l’époque. Une série d’améliorations supplémentaires comprend le poussoir de klaxon doré, tandis que Jaguar Classic est ravi de s’associer à nouveau avec l’artiste graveur Jonny « King Nerd » Dowell. La console centrale d’aluminium anodisé se voit parée d’une œuvre d’art unique dont chaque détail est gravé à la main.
Sur le cabriolet Oulton Blue, le dessin comprend la silhouette de la voiture, le tracé de la piste d’Oulton Park avec le drapeau de départ/arrivée, honorant la première victoire de Graham Hill – et la célèbre citation de Hill : « En course, la voiture devient une partie de moi et je deviens une partie de la voiture. » La moitié d’une couronne de lauriers célèbre, elle aussi, cette victoire. Les panneaux gravés sont anodisés par fournées selon les mêmes normes de qualité très élevées que l’on applique dans la production moderne pour garantir un aspect durable.
La deuxième voiture de chaque paire honore la Type‑E conduite à la victoire par Roy Salvadori à Crystal Palace en 1961, peu après les débuts si réussis à Oulton Park.
Bien que, à l’origine, toutes les voitures du Project ZP aient été des cabriolets, le véhicule inspiré de « BUY 1 » est construit sous la forme d’un coupé, ce qui donne aux collectionneurs un exemplaire de chaque carrosserie. Inspiré par la peinture Pearl Grey de la voiture d’origine, le coupé est fini en Crystal Grey, appellation tirée de la piste sur laquelle Salvadori a signé sa première victoire dans une Type‑E.
Comme la version Oulton Blue inspirée du modèle « ECD 400 », le coupé Crystal Grey est marqué de ronds blancs et doté de détails extérieurs similaires, y compris la suppression de la barre de calandre et du badge Jaguar sur la calandre. Le même travail de finition supplémentaire est apporté à la carrosserie. Le coupé arbore les mêmes pare‑chocs chromés que le cabriolet, les ouïes de capot pareillement soudées et le graphe sur l’aile avant. Élaboré avec le spécialiste Vaughtons, basé au Royaume‑Uni dans le quartier des joailliers à Birmingham, le badge extérieur reprend l’aspect et le motif des autocollants de course d’époque.
À l’intérieur, la voiture inspirée de « BUY 1 » présente un cuir Bridge of Weir de couleur Dark Navy avec des parements Hardura assortis et un volant en bois de hêtre, tandis que les détails en aluminium de la console centrale sont anodisés en gris. Sur celle‑ci, le dessin comprend l’autre moitié de la couronne de laurier gravée à bord de la voiture Oulton Blue. Le tracé de la piste est celui de Crystal Palace et le texte indique, à côté de la silhouette de la voiture, le surnom de Roy Salvadori, « King of the Airfields », beaucoup des circuits de l’époque étant tracés sur des aérodromes.
Un authentique hommage
Chaque voiture est livrée avec un casque d’époque semblable à ceux que portaient alors Hill et Salvadori. Ils sont magnifiquement réalisés par le spécialiste britannique Bill Vero d’Everoak, fabricant de casques depuis les années 1950. Ces reproductions authentiques et fidèles sont de belles pièces à exposer mais ils peuvent être portés, et ajustés à la main pour chaque client.
Ils sont fournis avec leur sac de rangement en cuir, fabriqué à partir du même cuir que l’habitacle et fabriqué en interne par les experts selliers de Jaguar Classic. Ce sac de casque est également assorti à la pochette du manuel d’utilisation, conçue dans le même cuir par la même équipe.
L’expertise de Classic Works
La collection ZP est basé sur les caractéristiques de la Type‑E 3,8 litres série 1, produite de 1961 à 1964. Le six‑cylindres 3,8 litres de 265 ch reçoit un radiateur en alliage dans le style de 1961 avec un ventilateur électrique, ainsi qu’un allumage électronique pour une meilleure utilisation au quotidien. L’échappement est en acier inoxydable poli. De quoi associer simplement la conformité à l’origine avec la facilité d’usage et la fiabilité modernes.
Bien que chacun des deux modèles ait une personnalité et un héritage uniques, tous deux reçoivent de Jaguar Classic Works nombre d’améliorations supplémentaires. On retrouve notamment le Jaguar Classic Infotainment System avec radio DAB, connectivité Bluetooth et système de navigation, aux normes du 21e siècle en matière d’infotainment.
La modification mécanique la plus importante est la boîte manuelle à cinq rapports, spécialement développée pour une conduite plus silencieuse et plus confortable. Tous les rapports sont synchronisés, tous les pignons à taille hélicoïdale et le carter est en fonte d’aluminium renforcée pour une fiabilité accrue. Les rapports sont resserrés pour des changements de vitesse plus fluides. Intelligemment conçue, elle ne nécessite aucune modification de la carrosserie ni d’aucun autre composant, malgré son rapport supplémentaire. Pour l’équipe de Jaguar Classic, il est de la plus haute importance de préserver l’authenticité du véhicule donneur, et la boîte de vitesses qu’ils ont développée préserve la carrosserie originale, tout en offrant une plus grande facilité d’utilisation.
Chaque voiture est le fruit d’environ 2 000 heures de travail par les experts de Jaguar Classic, un travail minutieux et méticuleux réalisé avec une passion d’artisan – ce qui fait de chaque exemplaire un chef‑d’œuvre.
Chaque auto est livrée avec une housse de voiture sur mesure marquée du logo ZP ainsi qu’avec un cric spécifique et son sac de rangement proprement unique à ranger sous le plancher du coffre.